Quelques mois plus-tôt ... [FLASHBACK] ► feat NOAM

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Quand je repense au passé, je ne regrette absolument pas mon choix celui de changer de vie. Je suis surement une des femmes les plus heureuses au monde, je suis amoureuse épanouie professionnellement mais surtout amoureuse. Noam et moi c'est comme une évidence, la plus part envie totalement notre couple c'est mon âme soeur et j'ai jamais connu un homme tel que lui. Je ne veux pas me vanter ou faire la fille qui ne le sait pas, mais j'ai eu une chance dans ma vie celle de la beauté. J'ai toujours eu cet atout de mon côté même si parfois ça m'a valu de rencontrer les mauvaises personnes, je suis le genre de femme souvent dragué par les hommes. Au point que cela ne me fasse absolument plus rien, au début on en perds la tête un peu comme une adolescente et finalement on se rend compte qu'ils mentent tous comme il respire et ne font que voir un physique et rien de plus. Puis j'ai rencontré Noam, il a réussit à me rendre heureuse à me séduire à sortir du lot. Et faut dire le pauvre que je n'ai pas toujours été très tendre avec lui et que je ne me suis pas forcément laisser faire.
Je suis là assise dans mon grand bureau à regarder par les baies vitrées, la ville. J'adore la nuit, je la trouve reposante et mystérieuse, une nuit peut être à la fois un rêve comme un cauchemar. Quand le jour vient tout nos rêves s'évapore et seul la triste réalité reste. J'avais ce petit sourire au coin des lèvres que je détestais chez les autres avant de connaître ce que s'est l'amour. Je pourrais donner ma vie pour lui et je n'ai qu'une envie c'est d'aller le retrouver. Je prend mon sac à main et marche en talons dans le couloir avant de prendre l'ascenseur, arriver dans le parking, monter dans ma voiture et filer jusqu'à chez moi enfin chez nous !
Quand j'arrive en bas de notre immeuble, le voituriè gare ma voiture. Je le remercie avec mon plus beau sourire et monte dans l'ascenseur avant de retoucher un peu mes cheveux et ma tenue. C'est peut être con mais à chaque fois que je le vois j'ai l'impression que c'est un peu comme mon premier rendez-vous et j'essaye d'être toujours séduisante et stresse un peu à l'idée de voir ses yeux se poser sur moi. L'ascenseur retentit j'arrive enfin chez moi. Je ne sais pas peut être que c'est bête, c'est possible qu'il soit encore au bureau enfin il y a surtout de grande chance mais on ne sait jamais. J'avance avec mes talons qui claque sur le sol image « Il y a quelqu'un ? » dis je assez fort tout en posant mon sac à main sur le meuble en verre d'entrée.

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Leona ∞ Noam

Après la pause déjeunée, j’avais convoqué mon frère et tous les partenaires de Hope-Baxter Company dans l’immense salle de réunion au dernier étage du building que mon père avait faire construire spécialement pour y installer son entreprise des années auparavant. Aujourd’hui et comme à chaque début de mois, nous faisions une réunion sur les chiffres d’affaires que nous attendions pour le mois qui arrivait, nos stratégies pour améliorer tout ça, les points importants à aborder, les déplacements de chacun.. Toute la paperasse administrative se faisait en début de moi, ça donnait plus de liberté à chacun et permettait qu’on s’organise tout comme nous le voulions. Ça évitait également les réunions d’urgence quand certains étaient à l’autre bout du monde. Nous étions dans cette grande salle bien remplie depuis maintenant presque quatre heures lorsque mon frère se leva pour remercier tous les gens qui y avaient assisté. Il remercia un à un les partenaires, fit un résumé des tâches de chacun, qu’il avait pris soin de noter sur son calepin comme moi. J’hochais d’ailleurs la tête pour marquer mon approbation et me levais, souriais à chacun et les remerciais également. Lorsque la salle fut vide, Nolhan me demanda si je voulais débriefer ce soir ou si je préférais attendre le lendemain. Je consultais ma montre. « Ça te dérange si on fait ça demain plus tôt ? Il n’est pas très tard et j’aimerais rentrer avant Leona pour lui préparer à dîner, pour une fois que j’en ai l’opportunité. » Il me sourit, et avec une tape fraternelle sur l’épaule, il me renvoya chez moi, me disant qu’il s’occuperait de germer les locaux après mon départ.

C’est donc tout sourire que je pris la route jusqu’à notre appartement situé au dernier étage d’un immense building. Leona et moi habitions dans le centre de Glasgow depuis maintenant un an et demi. Nous étions si hauts qu’on pouvait voir les lumières de la ville le soir sans pour autant entendre les bruits de circulation. Une fois ma voiture confié au voiturier, je montais chez nous par l’ascenseur prévu à cet effet et donnant directement accès à l’énorme appartement que nous occupions. Là-haut, je renvoyais les gardes pour la soirée et après avoir observé les lumières de la ville pendant dix bonnes minutes, je décidais de me mettre aux fourneaux. Ce soir, j’avais décidé de cuisiner pour ma belle. Après une bonne heure à tout préparer, je mis le plat au four et fermais les yeux après avoir mis la table. Adossé contre le plan de travail, j’imaginais le sourire de ma jolie blonde quand elle rentrerait du travail. Je la voyais, ses grands yeux clairs ébahie et son sourire ravageur lorsqu’elle comprendrait que tout cela avait été fait pour elle. C’était fou comme je l’aimais, j’étais fou d’elle, amoureux comme jamais il ne m’avait été donné d’aimer quelqu’un. Alors quand je l’entendis arriver, je me dirigeais vers l’entrée et déboutonnais ma chemise pour ne pas faire trop professionnel. J’étais ici chez moi avec la femme de ma vie, je n’avais pas besoin de boutonner ma chemise comme s’il s’agissait d’une rencontre professionnelle. « Oui, je suis rentré. » Je la vis et restais une demie seconde ébahie, elle était la plus belle femme qu’il m’avait été donné de rencontré. Je m’approchais d’elle et l’embrassais sensuellement. Je pris ensuite son manteau que je déposais sur le porte-manteau et lui tendis mon bras pour qu’elle accroche. « J’ai une surprise pour toi, mon amour. » Je souris, heureux de la rendre heureuse.

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Je ferais tout pour un homme tel que Noam enfin juste pour lui. Il rendait ma vie meilleure et je remerciais le ciel de m'avoir donné la chance de connaître le vrai amour et surtout le bonheur de vivre. Je n'ai jamais été gâtée par la vie enfin pas totalement je ne vais pas me le cacher ou me venter mais j'ai eu la chance de faire partie des très belles femmes celles qui se font courtiser assez souvent et rien d'autre voilà à quoi se résumer ma vie à n'être qu'une envie un souhait pour les hommes.
Je senti son parfum quand il arrivait, je venais de lever ma tête pour croiser son regards envoûtant. Ses lèvres m'offrir un baisé sensuelle, mmh que je les aime ceux là. J'étais vraiment surprise de le retrouver chez nous aussi tôt enfin je veux dire plus tôt que d'habitude. Il était beau sexy et hyper bien fringué ! Enfin je veux dire n'importe quelle fille craque fasse à un homme tel que lui. Avec sa petite chemise déboutonnée je n'avais qu'une envie le lui retirer et me blottir contre son torse. « Comment se fait il que tu sois rentré aussi tôt ? Tu n'avais pas une réunion ? » mon sourire ne quittait pas mon visage et encore moins quand il m'annonça qu'il avait une surprise pour moi. Je ne suis pas du genre matérialiste ou superficielle je ne l'ai jamais été les apparences peuvent être trompeuse. Une surprise de la part de Noam c'est toujours génial, il avait un boulot très prenant et qui demander beaucoup d'investissement et de temps ce que je comprenais tout à fait mais parfois j'étais jalouse de sa table de travail.
Alors quand un homme tel que lui prend le temps de vous préparer une surprise c'est qu'il vous aime sinon il ne perdrait pas son temps avec des broutilles. À mes yeux il était parfait, je retire mes talons. Les talons qui me permettent de paraître plus grande d'avoir des jambes plus longues plus sexy. Mais je m'en fiche je suis chez moi et je peux me décontracter et puis je sais être sexy sans ça enfin je peux toujours essayer.« Une surprise ? Mmh... Ne serait ce pas cette bonne odeur que je sens ? » dis je en enroulant mes bras autour de son cou pour y déposer un tendre baisé sur ses lèvres, ah et sans oublier que cette fois je n'ai pas eu d'autre choix que de me mettre sur la pointe des pieds, finit les tricheries ! Je m'accroche à son bras et le suit jusqu'à la cuisine ...
Je lâche son bras un instant.. L'expression de surprise se dessine sur mon visage, j'étais tellement toucher de voir qu'il avait tout parfaitement préparé par ses propres mains et nous avez installé une table parfaite. Je m'avance seule au milieu de la cuisine en laissant glisser au passage ma main sur le plan de travail en voyant les bougies. C'était juste PARFAIT ! Et je ne savais plus quoi dire ni meme quoi faire. En tout cas c'est sûre celui là je ne le laisserais pas partir.

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Leona ∞ Noam

Sa douce voix résonna dans l’entrée de notre appartement. Je la pris par la taille et la serrais contre moi. Le nez dans ses cheveux, je respirais son doux parfum et déposais un baiser sur le sommet de sa tête. Je chuchotais : « Si, mais elle s’est finie plus tôt que prévu, et tu me manquais trop. » Je souris quand je la sentis sourire. Elle souriait, et j’adorais ça ! J’aimais quand elle était heureuse, quand elle rayonnait de bonheur de la sorte. Elle m’aimait et je l’aimais, je ne voyais pas ce que je pouvais demander de plus. L’amour était quelque chose d’encore inconnu pour moi, mais grâce à Leona, j’avais pu découvrir ce qu’était ce sentiment dont tellement de gens m’avaient parlé. Tu te sentiras transporté, un autre homme, m’avaient dit la plupart de mes amis. Ils disaient que je comprendrais tout après avoir rencontré l’amour. Elle se débarrassa de ses talons et perdit quelques centimètres, je trouvais ça tellement mignon. Je souris en la regardant. La journée, elle était femme fatale au travail, parfaitement présentable, maquillée et joliment habillée. Et le soir, quand elle rentrait chez nous, elle devenait une gemme totalement naturelle et très sexy. Elle avait cette classe naturelle, parfois même, elle se changeait et mettait une robe légère ou une chemise de nuit en soie. Elle était magnifique naturellement, j’aimais être le seul à ne voir que cette partie d’elle. J’hochais la tête « Oui, j’ai cuisiné ton plat préféré. » J’étais un peu nerveux, j’espérais que ce ne serait pas trop cuit, bien assaisonné, qu’elle aimerait la présentation. J’étais rarement nerveux. D’ordinaire sûr de moi, au travail comme à la maison, seule Leona arrivait à me mettre dans cet état. Quand elle se mit sur la pointe des pieds pour m’embrasser, je ne pus retenir un petit rire contre ses lèvres, elle était vraiment adorale.

Une fois dans la cuisine, elle lâcha mon bras d’étonnement. Je lui jetais un regard bienveillant en coin. Je reconnaissais cette expression, elle avança au centre de la cuisine et regarda autour d’elle. Je la rejoins et restais derrière elle. Je la pris par la taille et l’embrassais dans le cou. « Madame Hemaye, est-elle satisfaite ? » J’attendis un peu qu’elle réalise ce qu’il se passait et fis le tour pour me placer devant elle. Je pris ses mains et les montais jusqu’à ma bouche pour les embrasser, puis je l’attirais jusqu’à la table et tirais une chaise sur laquelle elle prit place. J’étais un vrai gentleman, c’est comme ça que mes parents m’avaient toujours élevé. « Ta journée s’est bien passée ? » Je me dirigeais alors vers le four pour sortir le plat. La cuisine était séparée du salon par un bar, nous pouvions donc communiquer facilement tandis que je finissais de tout préparer.

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Je sentais sa présence derrière moi, sa façon de me toucher de faufiler sa tête dans cou c'était juste tellement craquant. Je pose mes mains sur les siennes lorsqu'il m'entoure de ses bras avant de me retourner rapidement pour sentir la douceur de ses lèvres contre les miennes. Qu'il était mignon je lui avais manqué, c'est bizarre enfin non pas vraiment c'est juste pas commun de voir que malgré le temps qui passe on est limite plus amoureux l'un de l'autre que avant. Plus le temps passe et plus l'on s'aime « Toi aussi tu m'as manqué ... » je ne dis pas plus je ne voulais pas gâché ce moment magique entre lui et moi. J'avançais près de la cuisine et l'odeur était tellement alléchante. Je pouvais déjà sentir que ça allait être très bon en même temps c'est mon plat préféré ça ne peut être que bon.

J'étais là pieds nus, et sans voix. Ok il n'y a rien d'extraordinaire, de hors du commun mais ça me touche qu'on m'apporte de l'attention sans attendre quoi que ce soit en retour que je ne l'aime. Je suis vraiment chanceuse finalement, moi qui pensais être vraiment maudit et bien non ! Sommes nous nombreuses à avoir ce genre d'hommes chez nous ? Je ne pense pas. Il a beau être très pris il ne m'oublie pas et ça c'est le vrai amour. Les gens ne cessaient de dire que nous sommes LE couple parfait. Que nous allons bien ensemble et que nous nous correspondons a merveille. Si je suis satisfaite ? Comment ne pas l'être j'affiche un grand sourire sur mon visage et hoche la tête comme une enfant. J'étais sur un petit nuage, chose qui ne m'étais rarement arrivé avant d'être avec Noam.
Il était de nouveau face à moi, et quand il a pris mes mains pour les amenaient à sa bouche. De mon côte moi je penchais légèrement la tête sur le côté touché avant de ne reprendre le contrôle et de caresser sa joue gauche de ma main droite, le regard plongé dans le sien. Il était juste magnifique et tellement classe et pis si bien élevé. Je passe à nouveau devant lui et m'assois lorsqu'il me tire ma chaise. Je m'assois naturellement et fait ce que je fais systématiquement lorsque je suis assise, je croise les jambes. Je me tourne vers lui et répond tout en le regardant faire « Oui une journée de travail comme une autre, enfin nan pas vraiment j'ai une de mes collaboratrice qui n'a toujours pas finit de traité un dossier urgent j'ai pas eu d'autre choix que de le faire moi même non mais t'y crois toi ? Bien tôt il va falloir que je fasse tout à leurs place ... Et toi ? » je le trouvais si beau et je ne suis pas la seule. Il avait cette prestance, une classe naturelle et une manière si sexy de faire les choses même les plus banales. Je voyais au fond de moi qu'il était comme un peu stressé, comme si je l'intimidais encore un peu. Un petit rire amusé se fit entendre en le regardant avant de ne baissé la tête amusé.

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Leona ∞ Noam

Ces mots réchauffèrent mon cœur et me firent sourire. Cette femme me faisait tourner la tête, jamais des mots ne faisaient battre mon cœur. Mais chaque fois qu’elle parlait, mon cœur s’emballait, c’était fou, irréel et inédit. Et même après tout ce temps, je n’arrivais pas à m’y habituer. Avant Leona, j’avais eu quelques aventures mais rien de bien sérieux. J’avais cru aimer ces filles, mais ce n’était rien, ce n’était rien à côté de Leona et de tout ce que je ressentais pour elle, ce n’était rien à côté de ce qu’elle et moi vivions. Je me souviens du tout début de notre relation, où j’avais décidé qu’elle serait mienne parce que j’aimais sa personnalité mais également son physique. On m’avait dit « pour qu’elle t’aime, fais la rire ». Mais chaque fois qu’elle riait c’est moi qui tombais amoureux. J’aimais même ses défauts, sa mauvaise humeur à la mauvaise période du mois, les rares fois où il lui arrivait de m’agacer. J’aimais tout d’elle, de l’odeur de son shampooing à la douceur de sa peau, en passant par la couleur de ses lèvres et ses mimiques de princesse. J’aimais le baiser qu’elle déposait sur ma joue lorsqu’elle se levait la nuit pour aller boire un verre d’eau. J’aimais la manière qu’elle avait de mettre le dos de sa main sur mon front quand il m’arrivait d’avoir de la fièvre, j’aimais la ride qui se formait entre ses yeux à ce moment-là. En entrant dans la cuisine, elle sourie comme une enfant, elle sourie de tout son être, elle sourie de bien-être, de bonheur. Le bonheur que nous dégageons, le bonheur que nous vivons, le bonheur d’un couple heureux, de deux êtres qui s’aiment. Elle sourie parce qu’on est heureux et qu’on s’aime. Et moi je souris, parce qu’elle sourie.

Sa caresse sur mon visage est si douce que j’appuie un peu plus ma joue contre sa main en souriant. La chaleur de son corps, la manière qu’elle a de poser sur moi son doux regard bienveillant. Elle plonge son regard dans le mien et pendant un moment j’ai l’impression que le temps s’arrête, j’ai l’impression d’être perdu dans un monde parallèle, de flotter, perdu dans le temps. Oui, Leona me fait l’effet d’une drogue. Lorsqu’elle s’assoit, je l’admire, je crois voir une princesse. Je souris en l’écoutant parler et dépose un baiser sur le sommet de son crâne avant de partir en cuisine. « Ça c’est parce que tu es la meilleure. On est jamais mieux servit que par soi-même mon amour. Mais si vraiment elle est incompétente, mets-lui la pression : petite réunion surprise dans ton bureau pour voir comment avance ses dossiers, un tête-à-tête c’est toujours stressant. » Je souris, un sourire malicieux qui laisse suggérer que j’ai déjà usé de ce plan avec l’un de mes employés. « Moi ça a été, j’ai passé l’après-midi en réunion. D’ailleurs, tu as le bonjour de Nolhan. » Elle rigola quand je passais à la cuisine et je fis la moue en la regardant. J’apportais une entrée de salade que j’avais faite et la servie avant de me servir. Je m’assis alors en face d’elle et déclarais. « Leo, ça va bientôt faire trois ans toi et moi, j’avais pensé faire un petit voyage pour fêter ça. » Je souris, espérant que ça lui plairait.

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Noam c'est ... c'est simple c'est toute ma vie. Je ne me vois pas vivre sans lui, je ne m'imagine pas le perdre. Il est mon oxygène j'en arrive même à me demander comment j'ai fais pour vivre sans lui toutes ses années. Mais maintenant que je l'ai il est hors de question que je ne le perde ou que je le laisse filer. Quand je pense à mon passé je suis bien contente d'avoir changé de vie et d'être enfin complétement moi même et ça c'est grâce à lui. Je me souviens de nos débuts, je le repoussait totalement alors qu'il m'attirait affreusement mais j'avais l'habitude d'être dragué par les hommes si ce n'est pas chaque jour que ça arrive. Je n'avais pas confiance en les hommes et donc il a dû vraiment ramer pour que j'accepte son invitation à dîner. Quand il me parlait de comment mettre la pression à ma collaboratrice, je ris et lui dit en me mouillant les lèvres « Tu es un tyran et méchant avec tes employés, je ne ferais pas ça. Si tu étais mon patron, ce genre de chose ne marcherais pas tu peux me croire. Je te donnerais du file à retordre »

J'avais le bonjour de mon beau-frère. Ce qui est bien c'est que j'adore son frère jumeau. Je le regarde et lui dis enthousiaste « Tu lui repasseras le bonjour et lui fera un gros bisou de ma part, il devrait passer ça fait un petit moment que je ne l'ai pas vu » je le regardais s'en aller dans le coin cuisine. Je l'admirais, il était beau, mais tellement et mon cœur battait tellement vite et fort quand il était dans la même pièce que moi ou quand je pensais à lui. Noam m'annonce son projet de voyage pour nos 3 ans, je souris folle de joie, je me lève de ma chaise toute excitée et je me rassois directement « Oh oui ! je suis touchée que tu y ai pensais mais avec ton boulot comment tu vas faire ? ... J'ai déjà hâte d'y être »
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» [Flashback] 35 is the number of times you've taken my breath away in that outfit. [Neïla & James]
» Who are you ? ► feat NOLHAN
» I need a drink ► feat ROMAN
» a coffee ? ► feat ANNA
» - a little moment with you. (noam)

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