Soucie toi de ceux qui sont là pour toi, s'inquiètent pour toi, croient en toi, en tes rêves. Soucie toi des gens qui te rendent heureux. ∆ ∆ ∆

Les amis c'est sacré bien sûr mais les meilleurs amis ça l'est encore plus, parfois on s'éloigne mais finalement on retrouve toujours les personnes qui comptent pour nous, même si c'est difficile, même si la vie se met entre nous, même s'il y a des disputes parce que bien sûr il y en a c'est obligé. Mais un meilleur ami, mon meilleur ami Chuck c'est important, il sait qu'il peut compter sur lui peu importe les épreuves qu'on peut connaître, même si la vie nous éloigne on se retrouve mettant les soucis de côtés parce que c'est ça finalement l'amitié, faire des concessions, être là pour l'autre, régler les problèmes et surtout s'amuser, rire. Comme souvent Chuck avait passé la soirée à la maison avec Naël mon frère jumeau et moi, mais vu que mon cher frère passe le temps collé à sa petite amie j'avais proposé à Chuck de dormir à la maison ce qu'il avait accepté. Lorsque cela n'allait pas chez lui avec son père ou encore parfois sa maman il passait à travers la fenêtre de ma chambre pour se faufiler et avoir un endroit à lui et au fil des années cela n'avait pas changé bien au contraire. Vous voyez les amitiés sur qui on peut compter c'est exactement ça !
Il devait être maintenant dix heures du matin et comme de vrais enfants Chuck et moi avions passé la soirée devant de vieux films mangeant de la glace et des bonbons de quoi se rendre malade mais peu importe et Chuck dormait comme un gros bébé je crois même qu'il était en train de ronfler. Je pris mon téléphone portable pour le filmer en train de ronfler et oui comme ça j'aurais une preuve de ses ronflements et je savais parfaitement qu'il allait me tuer mais tant pis c'est la vie et j'allais en rire, appuyant sur le bouton filmer je décida de le réveiller aussi par la même occasion. « Chuuuuuuuuk debouuuuuuuuut et arrêtes de ronfler et de prendre toute la plaaaaaaceee dans mon lit » lançais je à travers la chambre prenant un oreiller pour lui donner des coups, d'accord je dois l'avouer je pouvais être chiante parfois même si je ne le dirais jamais à voix haute. Je l'entendis râler sans pour autant comprendre ce qu'il pouvait me dire, puis se tourner dans le lit pour se cacher sous un des oreiller,  « allez sois gentil j'ai faim vas faire à manger » ajoutais je par la suite en riant, on pouvait quand même rêver un peu même si Chuck n'allait jamais faire ça c'était une évidence. Jamais au grand jamaias je n'avais été autant ami avec quelqu'un dans ma vie et avec Chuck cela avait toujours été comme ça, comme une relation frère et soeur.